

LIVRES
Mes six volumes sont tous disponibles chez mon éditeur AMAZON EDITIONS au format papier à partir de 9,55€ et au format ebook à partir de 3,60€.
Des extraits y sont également téléchargeables gratuitement sur l'appli mobile Kindle d'Amazon.

Pour Joey (317 pages)
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Pour Joey est un premier roman. C'est la voix de Victor qui se souvient en quelque sorte. Il aurait donné sa vie pour Joey. Et sans doute en aurait-elle fait de même pour garder ses illusions encore un peu. Des buttes Chaumont au Quartier Latin, de l'Opéra à la Place d'Italie. Et puis Londres, Highbury, Camden Town. Parce qu'on ne choisit pas toujours ses murs. On apprend à vivre au cœur de leur histoire. Victor est un écrivain sans principe, sans morale. Fasciné par Rushdie, James, Hemingway. Emporté par une rencontre indécente. Puis une autre. Coupable. Le silence, la musique a cessé. Mais il n'y a pas de seconde chance pour ceux qui choisissent d'ignorer la vérité, de lui tourner délibérément le dos. Au fond, c'est l'histoire qui choisit. Joey vit sans Victor à présent, loin d'ici. Elle continue son chemin. Peut-être seule. Peut-être pas. Mais il reste leurs années, leurs instants partagés. Il reste un goût amer, la certitude d'avoir eu tort. Et puis une ou deux photos abîmées par le temps. Mais cela n'a pas vraiment d'importance. Cela n'en a plus.

Le portrait de Sarah (383 pages)
Sarah nourrit une obsession pour les vieux livres et les auteurs anglais. Sa vie se partage entre la solitude de son appartement londonnien et la boutique du vieux Scrooge, dont elle est si proche. Son seul lien parmi les ombres sordides qui l'encerclent quand la nuit tombe. Les pages manuscrites qu'elle va découvrir dans une ancienne demeure vont l'attirer une dernière fois vers la lumière, quelques mots d'Henry James, les premières lignes de sa plus belle oeuvre, The Portrait of a Lady. Sur ses traces, sur les hauteurs de Florence. Un siècle qui aurait dû être le sien. Les villas de Bellosguardo, le Commodore Fausti et sa petite fille, Angelina. Un sursaut de vie dans ses veines, un roman qui se réécrit, un auteur qui revit à travers elle. Sarah ne vivra pas au-delà de ces mots incroyables.



Splinters (175 pages)
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Splinters is a collection of short stories that find their momentum in our intricate lives. The meaning of simple things, memorable framents of what we keep trying to build: strength, attachments, a print over whoever comes and goes our way. The gentle flow of jazzy music, the competitive self that pushes us forward. Intense. Whatever works after all. The transmission of the little things we know. Those we know for sure. The loves we left behind, the people they have become. A tiny bit through us, like a pen stroke that won't come off.
A Christmas Carol (253 pages)
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Of Christmas Past, Present, and Yet to Come removes the dust off Dickens's Carol and goes beyond post-modern literature. Old Robert Marley is facing his own Christmas demons, and is given no choice at all. It'll take the form of unwanted journeys through his past, present and future. A simple life, and a second chance. No matter what, things only crystallize if we let them. Through the wits and memories of Robert Marley, the journey revisits the classic novella in a new frame, modern and as down-to-earth as a ghost story allows it. Question is: do you believe in ghost stories?
Le style volontairement suranné jusqu'aux limites de l'anachronisme est proprement jubilatoire. [...] L'on connaît les ingrédients de ce gâteau sorti de notre enfance, mais le chef qui nous le sert a su le revisiter pour en faire un met exquis et très personnel.
Sébastien Vielle


Vampyres (406 pages)
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Sorti des artifices de la fiction, le vampyre, ainsi orthographié, remonte aux origines spirituelles de nos imaginaires collectifs. Ils se partagent le monde, lutte d'influence sous nos yeux qui ne voient rien. Noah et Lilana Harker, jeunes parents new yorkais, le découvrent pas à pas, pris au piège des cinq mondes dont ils ignorent tout, pauvres mortels. Ils n'ont pas choisi la vie qui les attend au monde souterrain, la lignée qu'on leur impose. Là-bas, ils seront Camuel et Amalia Ruthven, si le souffle de vie persiste, si l'écho de leurs pas sur Ditmars Boulevard résonne un peu plus loin, un peu plus longtemps pour survivre aux stryges. Leur existence a été dessinée bien avant eux, il faut désormais l'accepter, l'assumer et tenter de vivre quand même. Pour quelques mots familiers, un présage peut-être: One ring to rule them all, one ring to find them, one ring to bring them all and in the darkness bind them. Cinq univers régissent notre monde et en assurent le fragile équilibre. Les hommes ne sont plus maîtres de leur destin depuis bien longtemps. Sous l’influence des vampyres et des strix, ou stryges, ils contemplent impuissants la décadence de leur système de société, inconscients qu’au-dessus d’eux d’invisibles marionnettistes s’amusent de leur sort. Ils ont perdu le savoir, la connaissance des mondes, n’ont plus de souverain depuis trois générations. Absorbés dans un cycle sans fin orchestré par la puissante fascination qu’exercent sur eux les nouveaux médias, ils sont aux premiers loges, acteurs et spectateurs infortunés de la quête d’un pouvoir dont ils sont l’enjeu.

I am Orpheus (150 pages)
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I Am Orpheus dives into the worst of the human soul, when every motion and every pain echoes in the eternity of all of us. It's a collection of stories around of a broken marriage, of a dad that pulls through every day only trying to get by. Pages that stitch up into a canvas, from the early start of that loving feeling to the sound of shattered glass on the floor tiles. A few years through a divorce, and written words that shape the night as it falls. Poems, letters, stories that wind their way to the sinuous worlds of solitude and things left unsaid. The sufferings of scattered days, of missing your boys every other week and realising how there wasn't a point to all of this, the meaninglessness of every day. Wondering how to make it to the next morning, and contemplating the circle of seasons and the winds blowing by. Until it gets better, until the air fills your lungs again. On to the next train, the next town. The next day or two.
In the end there is light. First it's a timid ray of sunshine you can barely see from a distance; and then it grows into subtle nuances of red and blue. And as colours spread across the canvas again, Orpheus is spotted taking the last few steps out of inferno. Crawling as he drags his harp from the darkness. The heart of darkness, where only the cries of the dead reign. But not yet, not just yet. How to let go, in the shady smokes of cigarettes and the vapors of alcohol. Eurydice is left behind, she is left behind, keep telling yourself that. The wind is rising again, it is time to live some more.